mardi 29 septembre 2009

En 1991, son Histoire du pet de l’antiquité à nos jours lance un grand prout dans le monde de la lecture

"... Les statisticiens aussi y sont allés de leur étude. Pour la simple et bonne raison qu’en accusant les flatulences des bovins d’être une source importante d’émission de gaz à effet de serre, on ne pouvait que se poser la question: les humains n’y prennent-ils pas, eux aussi, une part importante? L’un des ingrédients principaux du pet étant le méthane, la question est légitime.
Veaux, vaches, taureaux et bœufs émettent effectivement 20% du total mondial des émissions de méthane dans l’atmosphère. Ils ne le font pourtant pas en pétant, mais en éructant et en expirant. Détail d’importance, puisque, du coup, leurs pets ne représentent plus que 1 à 2% des émissions mondiales. Reste maintenant à les empêcher de roter …"


http://www.24heures.ch/actu/culture/pet-laisse-traces-tenaces-2009-09-18

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bon, la saga des vesses de vaches polluantes frappe de nouveau

http://ysengrimus.wordpress.com/2008/04/29/la-saga-des-vesses-de-vaches-polluantes/

Garçon, un steak, sans frites…
Paul Laurendeau