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" Pourtant, Agustin Acosta ne veut pas tirer de conclusions hâtives : « On entend parfois des sons de cloche un peu nouveaux. Comme cette tribune publiée la semaine dernière par Jorge Castaneda, ancien ministre des Affaires étrangères, qui estime que le Mexique doit respecter l'engagement qu'il a pris en signant la Convention de Strasbourg. » Mais voilà : en complément de cette même Convention de Strasbourg, la France s'est réservé le droit d'aménager la peine, voire de gracier un ressortissant condamné à l'étranger et transféré. C'est ce que les Mexicains - qui savent lire - ne supportent pas et cherchent à éviter. « L'effet serait catastrophique pour le pouvoir en place. L'impression serait que le président Calderon et le ministre de l'Intérieur Genaro Garcia Luna, qui en a fait une affaire personnelle, ont été grugés par la France. Cela leur est d'autant plus insupportable que les élections législatives se tiendront au mois de juillet... "
La Voix du Nord
mardi 31 mars 2009
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