Après avoir lu l'article d'aujourd'hui chez Stalker, ensuite celui sur le combat des mineurs du site Canadien, après avoir écouté ensuite à la radio le combat d'un journaliste contre le blanchiment de l'argent, c'est comme si je m'étais livrée à une auscultation du pouvoir. Le pouvoir qui sécrète ses démiurges influant de tout leur poids sur l'Histoire quand ils ne sont pas à l'origine des guerres, et les hommes qui se laissent, pour les uns, emporter par le courant sans toujours comprendre vraiment ce qui se passe tels ces fameux bouchons de liège sur la crête des vagues, ou tentent, pour les plus courageux, de ramer contre comme il y a souvent lieu de le faire, même en démocratie, d'autres, pris dans les remous de l'Histoire, ciblés par les "petits dieux" risquent gros tandis que les citoyens qui ont réussi à passer entre les gouttes, essaient avec bonne volonté, avec leur simple petite carte d'électeur de dégonfler tel politique en place qui abuse, plutôt que de vraiment voter pour un programme qui trop souvent fait vitrine. C'est un peu comme dans la légende de Tolkien. Néanmoins, certains courageux citoyens nous éblouissent par leurs actions combatives et vraiment admirables, mais on voudrait qu'ils ne soient jamais élus, sait-on jamais, afin de les préserver de la chute.
Lutter contre le blues du blasé en gardant toute ma reconnaissance, mon admiration pour les grands écrivains, les journalistes les plus combatifs, etc., et apporter une petite coopération si tant est que la chose soit possible, voilà pour moi. J'ai la possibilité quand même, comme beaucoup heureusement, de pouvoir m'offrir la consolation sublime de la musique et je ne vais certes pas m'en priver. Je ne me lasse pas de la musique de Chopin :
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