mercredi 21 octobre 2009

La Lémurie

La Lémurie de Malcom de Chazal

" ... Nous avons signalé qu’en Hébreu, un des sens du mot « adama » était « terre rouge » ou « glèbe » selon les traductions ..."

http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1318

dimanche 18 octobre 2009

Une gestion de défunts inédite au néolithique (Valenciennes, Nord)

"La fouille d’un gisement néolithique en contexte de vallée à Valenciennes (Nord) a permis de mettre au jour un habitat dominant une plaine marécageuse associé à de nombreux restes osseux humains. Leur répartition sur le site suggère un rapport étroit voire intime entre le monde des vivants et celui des morts et échappe actuellement à toute interprétation. Cet article propose des pistes de recherche."

La suite : http://socio-anthropologie.revues.org/index1137.html#tocfrom1n1

jeudi 15 octobre 2009

Le site de Thierry Magniez

De belles balades en perspective, cliquez ci :

http://thierry.magniez.free.fr/index2.html

Urbanisme


«… Pour un urbaniste, la question est : est-ce le bon endroit de la région parisienne pour investir dans un projet de la sorte ?



L’effet de filtre touche désormais les classes moyennes et les ménages avec enfants, tous poussés à la périphérie.
Parmi les grandes métropoles, Paris est à la pointe de cette tendance : un centre-ville sanctuarisé, avec une abondance de commodités pour ceux qui y résident, à savoir les hauts revenus, les actifs, les célibataires... La richesse de l’offre urbaine fait de ce centre une sorte de « parc à thème » consacré à la haute culture, avec une forte concentration de musées, de théâtres, de lycées prestigieux... A la différence de Disneyland, ce parc est mis non à la périphérie, mais au cœur du centre historique, qui acquiert alors un statut international et dont l’immobilier devient une cible d’investissement pour l’élite mondiale, qui souvent n’y réside qu’à temps partiel. La crise économique présente ne corrige qu’assez peu ce déséquilibre.
Pourquoi l’accentuer encore ? Il faut que les politiques prennent conscience de l’atout indirect de la politique urbaine. Il est bien rare d’avoir un milliard d’euros sous la main. L’aménagement urbain, outre son rôle d’urbanisme, est devenu un des leviers les plus puissants de redistribution de la richesse, et malheureusement un des seuls qui restent à disposition. On sait la pression que subissent nos systèmes fiscaux à l’ère de la mondialisation, qui les force à abandonner un à un leurs mécanismes de progressivité. On sait aussi les tendances lourdes à un écartement des échelles de revenu et de patrimoine. La gauche politique est prise à revers sur ce terrain. Or, bien utilisé, l’investissement urbain est un outil efficace : il redistribue géographiquement et donc socialement la richesse urbaine. Un musée mis à Saint-Denis (plutôt qu’au Quai Branly), une radiale urbaine enterrée, un réaménagement foncier jouent ce rôle de distribution…. »


http://www.telos-eu.com/fr/article/a_propos_d_un_investissement_urbain_a_neuilly

À propos de paysage



En voir et savoir plus : http://www.linternaute.com/voyager/temoignage/temoignage/22332/l-autre-berge-du-loch-ness/

C'est quoi un paysage?


Une conférence pour répondre à toutes les questions qui vont suivre, ceux qui ne peuvent y assister pourront toujours essayer de trouver les réponses souvent en embryon dans les interrogations :


"On dit que le mot "paisage" aurait été employé pour la première fois en 1493 en France, par le poète Molinet pour désigner un tableau qui figurait un "pays". En 1552, il apparaît en Italie dans le vocabulaire pictural du Titien qui évoque le "paesàggio". Il sera traduit ensuite dans les différentes langues européennes. Se pourrait-il finalement qu'on doive au regard des peintres de la renaissance la conception que nous avons du paysage maintenant? peut-être même la valeur que nous lui attribuons? d'où viennent les codes qui définissent un beau paysage? Quelles sont les valeurs que nous mettons en avant pour argumenter nos politiques de préservation?
Les Paysages que nous traversons sont l'inscription, dans la nature concrète, des activités humaines dont ils gardent trace. Mais ils sont aussi le résultat d'une esthétique, d'un regard posé sur les choses et d'une certaine compréhension de ce qui peut faire beauté dans un contexte déterminé. De ce fait, les paysages vivent, ils changent en fonction de l'histoire des activités et de l'histoire de notre regard, de nos attentes.
Ou en est-on aujourd'hui dans notre culture du paysage, est-ce que la campagne est encore façonnée par le geste paysan, comme celà a longtemps été le cas? Est-ce qu'une approche patrimoniale fige les évolutions? Est-ce qu'on peut dégager un accord collectif sur ce qui fait beauté dans les campagnes d'aujourd'hui? Comment parvenir à construire du sens entre les paysages réels et les paysages qu'on perçoit?"


http://serendipities.over-blog.com/article--bivouac-des-facs--37556572.html

mardi 13 octobre 2009

Un point de vue - analyse

« … Les suicides professionnels devraient nous alerter sur le fait que la force implosive des nouvelles pénibilités et la dimension identitaire des changements d’organisation et des mobilités n’ont guère été perçus, écoutés, entendus. Que l’on ne sait pas encore bien les traduire dans des objets et des instances de négociation de plus en plus complexes et saucissonnés.
Si tant est que l’on puisse attribuer a posteriori une signification univoque à de tels actes, je dirais qu’ils reflètent une souffrance d’impuissance.
On observe l’émergence d’une critique de l’organisation du travail qui ne débouche en rien sur une demande de protection, de réparation, et encore moins d’écoute compatissante. C’est une critique au nom de la compétence, d’après laquelle des salariés de tous niveaux demandent à être dotés des ressources et des soutiens permettant d’affronter les contraintes. Ils demandent à ce que leur expérience serve à l’entreprise, qu’elle soit entendue, reconnue, capitalisée et remonte vers le niveau dirigeant. Ils veulent être acteurs dans la manière de définir des objectifs réalistes cohérents avec une stratégie offensive face aux concurrents dans le monde.
Il est temps de trouver le chemin d’actions organisatrices « équipant » les personnes pour faire face aux contraintes, plutôt que de les infantiliser. Ressourcer la critique de l’organisation du travail, c’est un enjeu social, économique et sociétal. Plutôt que de saucissonner les objets de négociation, les partenaires sociaux gagneraient à remettre en débat, sans fard, ce qui organise le travail dans des organisations de services où l’innovation est continue. Certes, cela pourrait amener à redéfinir et à redistribuer le pouvoir d’organisation sur les activités et les destinées professionnelles. Il y a des intérêts qui poussent à ce que l’on reste dans le registre de la santé, du compassionnel et de la réparation. Il faudra bien choisir. »

http://www.telos-eu.com/fr/article/suicides_zola_is_watching_you

lundi 12 octobre 2009

A Teotihuacán, près de Mexico ...



"A Teotihuacán, près de Mexico, le temps s'est arrêté. Et du haut des pyramides de la cité précolombienne, le visiteur a l'impression de contempler un monde antique dédié aux divinités."

http://www.telerama.fr/scenes/sur-le-toit-du-nouveau-monde,47984.php

jeudi 8 octobre 2009

Avril Lavigne - Innocence



Paroles :

Waking up I see that everything is ok
The first time in my life and now it's so great
Slowing down I look around and I am so amazed
I think about this little things that make life great
I wouldn't change a thing about it
This is the best feeling
This innocence is brilliant
I hope that it will stay
This moment is perfect please don't go away
I need you now
And I'll hold on to it don't you let it pass you by
I found a place so safe not a single tear
The first time in my life and now it's so clear
Feel calm I belong I'm so happy here
It's so strong and now I let my self be sincere
I wouldn't change a thing about it
This is the best feeling
This innocence is brilliant
I hope that it will stay
This moment is perfect please don't go away
I need you now
And I'll hold on to it don't you let it pass you by
It's the state of bliss you think you're dreaming
It's the happiness inside that you're feeling
It's so beautiful it makes you wanna cry
It's the state of bliss you think you're dreaming
It's the happiness inside that you're feeling
It's so beautiful it makes you wanna cry
It's so beautiful it makes you wanna cry
This innocence is brilliant

Les caf'teuses et compagnie



http://serendipities.over-blog.com/article-36231830.html

mardi 6 octobre 2009

R.D. Brinkmann

"R.D. Brinkmann est né en 1940 à Vechta. Il abandonne très vite l’école et sa vie est faite de petits boulots et d’errances. Influencé par la Beat generation, il commence à publier dans les années soixante, essentiellement de la poésie. Il écrit aussi des nouvelles, un roman et des pièces radiophoniques. Marié à Maleen, père d’un petit Robert (né en 1964), Brinkmann, dès 1966, tente de vivre de sa plume. Les revenus sont si minces qu’il accueille comme une bénédiction une bourse pour la Villa Massimo à Rome (l’équivalent de notre Villa Médicis) où il réside de l’automne 1972 à la fin de l’été 1973. Brinkmann mourra prématurément deux ans plus tard, à Londres, renversé par une automobile. Un comble pour un écrivain dont le regard scrutait le monde dans ses moindres détails.

"Rome, regards", comme tous les grands livres, est indéfinissable. L’objet-livre (et il faut encore saluer le travail de Quidam et de son imprimeur qui ont depuis publié l’Albert Angelo de B.S. Johnson et s’apprêtent à publier le livre-boîte du même auteur, Les Malchanceux) est en lui-même singulier : un format inédit (25x18), un poids important (près d’un kilo) et lorsqu’on en feuillette les pages, on découvre, insérés dans le texte, des reprographies de cartes postales, de collages, de factures, de cartes, de plans, de fac-similés, de photographies de monuments, de gens, de lieux hétéroclites, d’objets, d’animaux, de célébrités et même de photographies pornographiques. C’est que Brinkmann n’aime pas les genres et son séjour à Rome va lui permettre de s’en jouer. Rome, regards est composé de lettres, de longues lettres adressées à ses amis et surtout à Maleen, qui constituent un compte-rendu minutieux de son séjour romain. Brinkmann, au jour le jour, note tout : ses réflexions, ses sensations, ses balades, ses colères et joint toujours à ses lettres des documents qui sont autant d’attestations. Cela fait dire à Thibaut de Ruyter dans la préface que Rome, regards peut être considéré « comme l’invention du blog et de la forme littéraire “multimédia” »."

http://bartlebylesyeuxouverts.blogspot.com/

lundi 5 octobre 2009

La vierge noire de Monserrat

"Le monastère bénédictin de Montserrat est situé à 720 mètres d’altitude dans la montagne du même nom et abrite aujourd’hui environ 80 moines et une célèbre manécanterie. Les enfants de chœur chantent tous les jours divers hymnes mariaux ainsi que le virelai de Jacint Verdaguer consacré à la Vierge et à la Catalogne qui proclame : « C’est avec votre nom que commence notre histoire et Montserrat est notre Sinaï ». Le massif de Montserrat est visible de très loin mais culmine à seulement 1 236 mètres. Il présente des formations rocheuses particulièrement escarpées et très caractéristiques, source de nombreuses légendes ..."
http://cdlm.revues.org/index4371.html

vendredi 2 octobre 2009

Gildas Boclé et Nelson Veras - Candy Men

César Isella




Fondateur du groupe Los Fronterizos, un des meilleurs groupe de folklore argentin et compositeur de Canción con todos ... http://agenda.lafrancolatina.com/spip.php?article242

jeudi 1 octobre 2009

L'assassinat de Marat


"Longtemps abandonné à l’anecdote ou à l’érudition locale, l’attentat de Corday a été refoulé depuis la fin du XIXe siècle d’une histoire républicaine soucieuse de gommer certaines aspérités du conflit civil."

http://www.laviedesidees.fr/Bain-en-eau-trouble.html