mardi 29 avril 2014

De bons dérivatifs

"Quiet on set, and action."

C'est une longue chaîne de solidarité de faire un film pour quelqu'un qui n'a pas d'argent. Il faut s'assurer d'un tas de choses au préalable et ensuite on peut crier :

"Du calme sur le plateau... Action !"

 ça se passerait comme ça...

Drôle d'univers.... qui donne du boulot à un tas de gens dans l'ombre. Et ceux qui se mettent en lumière sont aussi ceux qui courent le plus de risque, avec l'auteur. Car l'auteur est à la fois dans l'ombre et la lumière.

Si on arrive à faire passer des choses qui du moins ne feront pas de mal... c'est quand même mieux que la guerre.   

mercredi 23 avril 2014

Le deuil

J'ai passé un cap décisif aujourd'hui. J'ai fait le deuil de  la gauche, celle que je m'évertuais à vouloir faire mienne. Cette décision, à cause ou grâce à la radio dans laquelle un homme de gauche paraît-il  a vociféré une fois de trop à l'encontre de handicapés et ce, cette triple andouille, malgré les crimes atroces d'un certain chauffeur de bus, Machin Louis, qui en torturait dans un bois il y a quelques années de cela quand l'envie lui en prenait ; l'affaire fut heureusement largement médiatisée. 
 
Ne suis-je pas pacifiste ? N'ai-je pas senti de la fraternité durant des années pour mon ami Maurice, mineur de profession, lequel avait l'âge de mon père et m'aimait comme sa fille (enfin presque) et qui  est mort prématurément. J'étais la seule à qui Maurice prêtait sa mobylette, avec laquelle il se rendait à Marles d'où il prenait un bus pour se rendre à la mine, mine qui l'a fait mourir prématurément, vers 44 ans, d'une maladie de cœur. Comment oublier ? Et voir ensuite ces gens dits de gauches,  qui, en fait, vous volent la gauche à coup d'insultes aux gosses handicapés ! (d'ailleurs Maurice, parmi ses nombreux petits enfants a un petit fils handicapé mental). Et ce, en bavant leur haine dans les micros de France radio !  Je me sens orpheline de ma gauche bien sûr, mais jamais plus ne voterai pour ce parti volé aux vrais gens de gauche. Elle est bien morte cette gauche que je m'imaginais peut-être, allez savoir, celle que j'imaginais être la gauche de mon pays, il n'était pas question de la confondre avec celle de Staline, Paul Pot et autres monstres. La gauche française pour moi c'était le must de la fraternité.
 
Je m'en remettrai, mais pour cela les grands moyens : je prends la résolution de ne plus écouter les prêcheurs de paroles véreuses, dits de gauche. Je ne voterai plus non plus, ne me sentant représentée par absolument personne en politique.  Voilà.... cent ans de solitude ! Mais je ne trahis pas Maurice, moi ! donc, ça ira.   

vendredi 18 avril 2014

la visite

Saint Benoît Labre
 
Je me suis ressouvenue du village natal de saint Benoît Labre à l'occasion d'un article dans un hebdomadaire local, où l'on parlait d'un parcours de vie pas banal, celui d'une jeune femme adoptée par une famille provençale. Elle décrocha son bac à 14 ans, c'était trop tôt pour s'inscrire à une école d'infirmières, elle a profité de ce laps de temps pour aller aux Etats-Unis, puis revint en France je ne sais plus pourquoi. Cette jeune femme, un peu troublée j'imagine du fait de ne pas connaître sa mère biologique, devait avoir la bougeotte. On finit par lui donner l'identité de celle-ci. Il s'agissait d'une Irlandaise. La jeune femme alla lui rendre visite en Irlande et cela ne se passa sûrement pas comme elle l'aurait voulu puisqu'elle prit la décision de ne plus la revoir. La voilà qui découvre le Nord de la France où elle ne compte pas rester, d'autant plus qu'elle est en bons termes avec sa famille adoptive  Provençale. Jusqu'au jour où elle découvre le village d'Amette, là où naquit et vécut enfant Saint Benoît Labre. La jeune femme, s'attache à ce village et décide d'y rester, avec son époux du cru. Elle  reprend une petite épicerie à Amette, hélas ça ne fonctionne pas terrible : il lui faudrait 10 clients de plus pour pouvoir faire marcher ce petit commerce. À bon entendeur salut, si des gens d'Amette tombent sur mon blog.
 
 Toujours est-il que cet article m'a donné l'envie de revoir le village d'Amette où, petite, j'avais accompagné ma famille. Je voyais encore la pâture en pente, et en bas la maison. Enfant cela m'avait semblé immense et bien sûr quand j'ai revu le tout dimanche passé, c'était dix fois moins grand que dans mon souvenir. N'empêche, voir une modeste maison encore debout depuis le 18è siècle, c'est plus fascinant finalement que de voir un château conçu pour durer des siècles. Et la vie du saint n'est pas non plus ordinaire. Contrairement à la jeune femme dont je viens de parler plus haut, Benoît n'était pas bon à l'école. On essaya de lui apprendre le latin, mais il y fut rétif. Pas évident pour dire la messe pour un jeune garçon qui se sent la vocation à devenir prêtre ou moine. Il était d'une famille si nombreuse que très jeune il fut casé chez un curé parent dans un village des environs, (il vous suffira d'aller consulter wikipedia pour savoir tout cela en détail). Ce que j'ai retenu c'est que, déçus par le fait qu'il n'excellait pas en latin et n'accomplissait pas de prouesses intellectuelles, les encadrants délaissèrent quelque peu le jeune homme à ce qu'il me semble ; il "embarrassait" quelque peu sa famille, en surnombre pour cette petite maison dans la prairie pentue j'imagine ; alors, il se trimballa à droite à gauche, un peu comme un éternel orphelin, que peut-être il aura dû se sentir assez jeune ; cependant, vu sa spiritualité peu commune il était heureux, d'une grande douceur et devint tout naturellement pèlerin. Les athées pourront l'imaginer comme un grand marcheur. J'ai quelques photos prises dimanche passé de la maison de saint Benoît qui veillera je l'espère sur la jeune femme provençale et artésienne d'adoption. Les premiers à l'appeler "le saint" (ne pas confondre avec la série anglaise) furent des enfants en Italie, qui le trouvèrent mort, semblable à un vagabond, sur les marches d'une église.    

mardi 15 avril 2014

Ambiance humide

 
J'ai lu ce matin, pour me réchauffer en raison de l'humidité ambiante, la fin de Don Quichotte, ainsi que le prologue de la deuxième partie ; Cervantès dit avoir écrit ces sortes de nouvelles, (qui se succèdent pour le plus grand ravissement des lecteurs), dont son personnage chéri, Don Quichotte, est le héros, afin d'exprimer tout le mal qu'il pense des romans d'aventures concernant les chevaliers errants du moyen-âge, c'est un peu la démarche rationnelle de Flaubert avec Madame Bovary,  auteur qui fustigeait lui aussi, par le biais de Madame Bovary, des romans selon lui à l'eau de rose que celle-ci lisait pour tromper l'ennui, s'alimentant des fantasmes exacerbés de leurs héroïnes.
 
 Cervantès s'est inventé un pseudo pour parler de lui en tant qu'auteur, lequel sonne oriental, Cid Hamed quelque chose si je me souviens bien... cela pour  signifier une empathie certaine pour les orientaux ? doublé d'un faux amour des curés peut-être... car Cervantès est protégé par un aristocrate catholique à qui il ferait allégeance par nécessité ? Hypocrisie incontournable en raison du pouvoir implacable des uns sur leurs sujets .... je me permets de le supputer, peut-être à tort.
 
Je n'ai pas retrouvé ce matin le réconfort des années 90, quand j'avais découvert le roman.  Recommençant ma lecture par la fin, que je trouve  triste et académique,  (Don Quichotte meurt),  cela a dû entraver le déclic bonne humeur.  L'auteur  tient à faire mourir son bien aimé Don Quichotte,  afin de s'assurer qu'un certain mauvais plagiaire lui ayant piqué son personnage pour écrire d'autres aventures de Don Quichotte, ne récidive.  Quelques jours avant sa mort, Don Quichotte retrouve la raison, se rabiboche avec les notables du coin, dont le curé. Evidemment quand Don Quichotte s'attaquait aux moulins à vent,  prenait une paysanne laide pour une noble et belle dame, sa dulcinée du Toboso, une auberge douteuse pour un palais, le lecteur le suivait avec la même affection que l'auteur pour ce personnage, du moins me concernant ; c'était magique et ce,  malgré la cruauté infantile de Cervantès pour la paysanne dulcinée du Toboso ; Sancho Pança le rationnel  pimente encore le récit aussi bien  quand il bascule dans les délires de son maître que lorsqu'il essaie de le ramener à la raison ; ce genre de fiction envoie  de l'oxygène à certains individus de mon espèce ; dans ce monde inventé, à peine teinté de réalité, la folie devient possible, ne cause pas de vrais dommages, elle est douce. Lorsqu'il retrouve la raison, Don Quichotte en meurt fatalement ; le personnage, que celle-ci semble vider de son énergie, reprend son vrai nom en même temps qu'il retrouve son identité du point de vue social, et s'absente définitivement en fustigeant les romans écrits sur les chevaliers errants ; Cervantès a rempli, en apparence seulement selon moi, son contrat,  car le personnage du fou, de cette folie-là, est tellement attachant, que l'auteur n'a pas réussi à dégoûter nombre de lecteurs des chevaliers errants du moyen-âge. Lesquels à mon sens avaient sans doute adopté un genre de vie tout en  poésie, basé sur l'idéal chrétien qui, "normalement", si le message est bien reçu, ne manque pas d'humanité ; la foi engendrait chez certains, à en croire le phénomène de la chevalerie errante, une poésie proche de celle de Merlin  l'enchanteur, une surréalité, qui pouvait on l'imagine  ne pas convenir à tout le monde.  Si l'on en croit Cervantès, d'aucuns, comme son personnage, en concevaient des troubles de l'identité. L'Espagne, carrefour à l'époque des identités musulmane, chrétienne et juive, étaient-ce des sensibilités alors suffisamment différentes pour créer chez un néophyte ce genre de confusion par rapport à la chrétienne par exemple ?     

lundi 14 avril 2014

Ce week-end

J'ai entendu une émission de radio de Stéphane Paoli, hier en fin de matinée. On y a parlé d'écologie, à savoir : pourquoi ce déni de nombreux citoyens, malgré les médias qui en parlent très souvent, du réchauffement climatique ? Micro-trottoir où les parisiens répondirent à plusieurs reprises que les lobbys, selon eux, bloquaient les choses, toujours pour des questions de profit.  Qu'il fallait un mouvement coordonné général avec prise de conscience à l'échelle mondiale pour stopper les nuisances de l'homme sur la planète. N'est-ce pas déjà trop tard ? Les traces laissées par l'homme ne s'effaceront pas avant longtemps paraît-il... à terme la Terre  finira par  être débarrassée de l'espèce humaine qui la met tant à mal disaient les invités de Stéphane Paoli, en tant que scientifiques. Les citoyens interrogés sur le mode du micro trottoir répondirent aussi que la question de l'écologie ne devrait pas être du ressort d'un parti politique, j'ai entendu l'un d'eux dire que l'écologie, pour que l'on s'en occupe enfin au niveau individuel et collectif devait sortir d'entre les mains des politiques, sinon, par rejet de ces derniers, le déni du réchauffement climatique perdurerait. Je pense qu'il est temps que nous passions à une démocratie réellement participative, faute de quoi de plus en plus de monde,  se sentant enfermé dans un système oligarchique, risque de ne plus se sentir concerné par les questions cruciales, notamment celle du changement de mode de vie en vue d'adopter une attitude de respect de la planète. Stéphane Paoli invita ensuite à s'exprimer des journalistes de l'Huma qui parlèrent, eux,  de révolution écologique et anthropologique allant de pair, de respect encore afin que les populations ne mangeant pas à leur faim sur notre planète actuellement, soient enfin secourues.
 
 
Sur France Culture j'avais entendu auparavant la question de la sécurité sociale en France, nous serions le pays d'Europe le plus inégalitaire. Des gens en France, nombreux, faute de pouvoir se payer une mutuelle, tout comme aux Etats-Unis, renoncent à se soigner.
 
La radio dans l'ensemble mène une belle lutte, je lui souhaite bonne continuation. 

vendredi 11 avril 2014

Le texte de ce matin

Le texte de ce matin dans Englishtown était intéressant. Beaucoup de mots en Amérique, pour désigner des métiers ou activités professionnelles ou de mode de vie, ont la préférence à d'autres, synonymes, à seule fin que n'intervienne pas la notion de sexe. Le travail d'une personne, son job, n'est pas défini par la nature d'un sexe mais par la fonction que le mot doit  représenter. Ceci pour évidemment décourager sexisme et discrimination. 
 
Et l'on devient très regardants pour certains sur l'emploi d'autres mots, par exemple un professeur a eu des ennuis avec la justice parce qu'il a dit :
 
"We need to encourage fat children to eat healthily and do more exercice..."
 
le "fat" : gros, ne passe pas au niveau du choix politique des citoyens, qui ont besoin de rectitude politique, c'est ainsi que sonne, au pied de la lettre, leur "politiquement correct", politically correct.  Alors qu'ici l'expression sert à ironiser les hypocrites. On dit là-bas avec sérieux : a PC person, une personne politiquement correcte ; sérieusement parce que comme je l'ai signalé plus haut, il s'agit de désigner la rectitude politique, laquelle aborde la question de l'égalité des droits, du traitement équitable des personnes quelle que soit leur race, leur couleur, leur forme, ou leur sexe.
 
Par contre avoue le politique, les attentions ou égards peuvent parfois être poussés un peu trop loin à son gré. Ainsi, on ne dirait plus aux élèves qu'ils ont échoué ou réussi à  leurs examens, ceci de crainte que le manque de succès nuise à l'estime de soi des enfants ; c'est ainsi que, par prudence, au lieu de leur donner le F de fail, échec, on les gratifie d'un 'Deferred Sucess' succès différé. 
 Comme si on n'osait plus dire qu'un match de foot est gagné ou perdu commente-t-il implicitement avec cette comparaison.
 
Les candidats élèves ne sont plus appelés au sortir des épreuves gagnants ou perdants, mais seulement participants.
 
Et le politique de poursuivre : parfois, la vérité sans fard est tout ce qui compte.
 
 En conclusion il déclare qu'il lui semble que dire la vérité et être sexiste, raciste et discriminant sont des choses différentes.
 
 Cela se tient. Le monsieur a évité hiatus et amalgame, c'est cohérent.
 
Il n'est pas d'accord qu'on traitât de gros un overweight, une personne en surpoids, parce que le mot gros est mal connoté, frise l'insulte mais dire à un élève qu'il est en succès différé le bouscule...c'est son  point de vue. Point de vue que je ne partage pas complètement ; les triste constats "d'échecs scolaires" en France sont par trop comme une fatalité.
 
Mais peut-être voulait-il dire que la situation qu'il décrivait masquait une hypocrisie au vu d'élèves qui, en réalité, finiraient par se faire aussi dûment et hypocritement éjecter qu'en France ?

jeudi 10 avril 2014

Entre les lignes

"Let people tell their jokes. If what they say is inappropriate they won't earn a living because they won't get booked again."

The Ukip leader Nigel Farage defending an "offensive" stand-up routine delivered at the party's conference in Torquay that included a string of jokes about Polish, Somalia, Muslims and Asian people.

Ukip = United Kingdom Independant Party

stand-up routine = numéro de comique seul en scène.
Lu dans Vocable

"Nigel Paul Farage, né le à Farnborough dans le Hampshire, est une personnalité politique britannique, chef du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP) de 2006 à 2009 puis à nouveau à partir de 2012. Il est également député européen et coprésident du groupe Europe libertés démocratie (ELD) avec Francesco Speroni, depuis le .
Eurosceptique[1], il dit défendre les « valeurs de démocratie pour les nations », et s'est opposé à l'adoption d'une constitution européenne en invoquant le « non-respect des votes des peuples européens » (notamment français, irlandais et néerlandais), ainsi que l'absence de référendums pour l'immense majorité des pays européens." http://fr.wikipedia.org/wiki/Nigel_Farage
 
Je suis également une eurosceptique, absence de référendum en effet. Les euroscroyants insinuent dans cet extrait d'article (Vocable), qu'il y aurait du racisme de la part des eurosceptiques ; je ne le pense pas. C'est grave de ne pas demander l'avis des gens. 
 
 

mercredi 9 avril 2014

Coercition

Coercition induit pouvoir....

Extrait d'une analyse, sous les temps médiévaux, de la place des paysans dans la société. En bas, le lien de l'article à propos du livre et de son auteur, l'historien Mathieu Arnoux. 

Extrait

"Un non-dit tenace dans une bonne partie de la littérature d'histoire économique consiste à faire l'impasse sur la question, comme si le travail paysan était une donnée "naturelle" à l'instar de celui des bêtes de trait : la croissance du nombre d'individus suffit à expliquer la hausse de la quantité de labeur. Dans une version plus articulée, disponible sous des formes idéologiquement opposées, l'augmentation de la quantité de travail est une réponse naturelle à un ensemble d'incitations, dont la violence seigneuriale et la pression fiscale sont les plus souvent évoquées. Il est rare que ceux qui font une telle hypothèse s'interrogent sur l'éloge du travail forcé et de la coercition qui en est le fondement théorique implicite. La proposition qui est faite ici est que l'augmentation de l'offre de travail résulta d'une décision volontaire et collective des acteurs dont on peut reconstituer le contexte et explorer les motivations. L'hypothèse n'est pas nouvelle (...) : sous la dénomination de "révolution industrieuse", elle a été popularisée (...) pour caractériser l'évolution du Japon avant l'ère Meiji, puis (...) pour décrire la croissance économique des Pays-Bas avant la révolution industrielle."
Le Temps des laboureurs, page 13
 

 
 
 

mardi 8 avril 2014

Celui qui trouve la paix dans sa maison

Imagine une vache et un loup qui s'entendent, tu as un aperçu du paradis. La vache fait son lait, le loup son beurre, côte à côte, ou alors, il la tète pour se nourrir,  un rien lui suffit. La tétée, fantasme hautement érotique tu crois ?
En tout cas ils seraient amis, tous deux chez eux en paix,  "il est le plus heureux, qu'il soit roi ou paysan, celui qui trouve la paix chez lui ! He is the happiest, be he king or peasant, who finds peace in his home !"

Pas de chasse aux loups, de vaches dévorées, ni autres calamités à craindre, nul besoin de fuir son pays... ce n'est encore, hélas! qu'un fantasme pour beaucoup.

Pour l'heure, même si en toi une vache craintive et sacrée sommeillait, tu peux, grâce au web,  rendre visite au loup sans dommage, du moins physique ; N'oublie pas que dans un loup peut sommeiller une vache pas méchante, et dans une vache un loup, ou si tu préfères, un caractère "peaux de vaches", sachant qu'il y en a de pas commodes. Lien du site sous l'extrait :

"La discrète et peu publicisée confection de ROUE DE BICYCLETTE, dans le fond de son atelier de peintre, c’était donc, il y a cent ans, si vous me passez l’analogie, rien de moins que Lady Gaga chantant Turkey in the straw sous la douche, sans témoin (c’est folklo, c’est tsoin-tsoin, mais ça reste Lady Gaga – un enregistrement secret de la chose ferait du feu)… L’œuvre de Duchamp s’est ensuite déployée, notamment avec des sculptures et des installations."

lundi 7 avril 2014

De gros travers en terribles avatars... le marquis de Sade

"Libertin perdu en son siècle, le marquis Donatien de Sade (1740-1814) fait figure d'extraterrestre. Aristocrate riche et égocentrique, évidemment athée, sujet à des accès de colère et de violence, il lui arrivait de maltraiter prostituées et domestiques à une époque où la montée des idéaux démocratiques rendait ces comportements de moins en moins acceptables."
 
Ici :

http://www.herodote.net/Donatien_de_Sade_1740_1814_-synthese-1907.php