Les antifascistes déclarés les plus virulents que je connaisse pour ma part sont des chrétiens, notez que je ne connais pas suffisamment les autres confessions pour savoir s'ils le sont autant que certains chrétiens comme cette femme par exemple dont j'ai lu un extrait édifiant d'un de ses textes ce matin, elle se nomme Adrienne Von Speyr et déclare ceci :
"Humainement parlant, personne n’est indispensable même si, du point de vue du Seigneur, on est irremplaçable. Humainement parlant, d’autres pourraient accomplir notre tâche aussi bien, voire mieux que nous, parce qu’ils ont des dispositions, des aptitudes et des expériences aussi bonnes ou meilleures que les nôtres. Du point de vue du Seigneur, par contre, chacun est irremplaçable parce que chacun est indispensable à la plénitude de la gloire de Dieu."
Je lis cela dans Jubilate Deo ce matin et je me dis à la manière d'Astérix qu'"ils sont forts ces Chrétiens." Vrai, ils m'épatent dans ces cas-là d'autant plus les Chrétiens de cette tournure d'esprit qu'ils ont fort à faire ces temps-ci où tout le monde est tellement préoccupé à "se vendre" selon l'expression qui est entrée dans la coutume et donc à se faire valoir de façon qui devient quasi maniaque, que c'en devient sec et froid alentour, sans ambiance véritable, sinon délétère.
Je remets un peu de télé parce que j'ai repéré un feuilleton policier plutôt intéressant avec de bons scénarios sur la belge chaque soir à 17h30. Hier y était abordée, hélas un peu mollement, la question de l'écologie, et du respect des employés d'usines chimistes, lesquels dans ce scénario se font polluer à mort sans que ça émeuve plus que cela, à un moment donné, Madame la Juge d'instruction. Mais déjà le problème est abordé, on traite la question... c'est toujours mieux que l'occultation habituelle.
Je conclue mon billet avec la déclaration d'un autre chrétien, Augustin d'Hippone :
"Les temps sont mauvais, voilà ce que disent les gens. Vivons bien et les temps seront bons, car c'est nous qui sommes les temps. Tels nous sommes, tels sont les temps."
Lu encore dans Jubilate Deo
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