mardi 30 décembre 2008
Question brûlante
« La question est brûlante. Est-il possible d'éviter une catastrophe climatique dans la région la plus densément peuplée de France avec 4 millions d'habitants sur deux petits départements ? Si rien ne bouge, la mer montera. C'est bien écrit dans le dernier atlas du développement durable édité par le conseil régional : « Si les comportements ne changent pas, la concentration en CO2 (dioxyde de carbone) serait multipliée par deux en Nord - Pas-de-Calais. » »
ICI
lundi 29 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
La poésie venue du froid
« Dernièrement, un recueil de poèmes choisis trônait sur la table des nouveautés de la médiathèque. Je me suis alors approchée et après feuilletage et manipulation dudit recueil, je l'ai embarqué, très curieuse de découvrir la poésie finlandaise! »
http://chatperlipopette.blogspot.com:80/2008/12/la-posie-venue-du-froid.html
http://chatperlipopette.blogspot.com:80/2008/12/la-posie-venue-du-froid.html
samedi 27 décembre 2008
le râtelier de Schopenhauer
Nouvelle qui aborde le thème de la philosophie quand elle déraisonne
http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1075&PHPSESSID=971e767e27751adf2c82a023b44329ca
http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1075&PHPSESSID=971e767e27751adf2c82a023b44329ca
vendredi 26 décembre 2008
jeudi 25 décembre 2008
mercredi 24 décembre 2008
Analyse
"Dans Mythologies, Barthes analyse à plusieurs reprises le "bon sens" français, celui des "petites gens" (dixit Poujade), mais aussi celui des intellectuels et des critiques. Il existe, écrit-il, une "critique muette et aveugle" qui ne comprend rien à l’existentialisme ou au marxisme, et s’en vante au nom de ce bon sens pour lequel les idées trop complexes seraient inaccessibles au commun des mortels. "Le vrai visage de ces professions saisonnières d’inculture, écrit Barthes, c’est ce vieux mythe obscurantiste selon lequel l’idée est nocive, si elle n’est contrôlée par le "bon sens" et le "sentiment" (...)". Ce texte a été écrit il y a presque cinquante ans. Or il est amusant de constater que les mêmes mécanismes d’une critique basse fonctionnent en France aujourd’hui comme hier, ce que se sont employés à montrer récemment nombre d’intellectuels et de critiques lors de l’attribution du prix Goncourt à Pascal Quignard. Les ombres errantes, put-on entendre, est un livre trop difficile, trop érudit pour le public (ou la "France d’en bas" de Raffarin) ; le choix de ce livre par l’académie Goncourt ne serait que l’expression d’un "culture élitiste" (sans craindre le paradoxe, puisque faire œuvre d’ "élitisme", c’est plutôt compliquer l’accès des œuvres au public). Cette "critique" s’exprima même dans un magazine, où il fut question de "l’esprit France Culture", de Quignard et de Michon comme d’auteurs réservés aux "femmes savantes". Il n’y aurait pas d’humour chez eux, leur écriture équivaudrait à un "valium", et leurs livres seraient trop "intelligents", n’évoquant pas la "vie"."
http://www.larevuedesressources.org:80/spip.php?article326&PHPSESSID=e1d9e975f2eaeee59a296c197014341b
http://www.larevuedesressources.org:80/spip.php?article326&PHPSESSID=e1d9e975f2eaeee59a296c197014341b
Stéréotypie et roman mondain
"Bref, il existe bien un problème Feuillet. Pour en comprendre les termes, nous montrerons en quoi ses romans constituent un terrain d’élection pour l’analyse des stéréotypes narratifs. Mais s’il est vrai aussi qu’ils sont parcourus par des discordances internes, il faudra chercher où logent ces discordances et quel rapport elles entretiennent avec la stéréotypie. Notre hypothèse sera que ces contradictions ont enrayé l’invention romanesque et jeté l’écrivain dans l’ornière du stéréotype – qui a été aussi celle du succès."
l’œuvre d’Octave Feuillet par Jean-Marie Seillan
l’œuvre d’Octave Feuillet par Jean-Marie Seillan
mardi 23 décembre 2008
« Today, millions of Iraqi children are struck by malnutrition and disease. Already decimated by the blind violence tearing the country apart, now almost 10% are suffering from acute malnutrition. Hence the urgent appeal launched by UNICEF France. »
Destination santé
Destination santé
lundi 22 décembre 2008
Le 24 décembre 1894, le téléphone sonne chez l'imprimeur parisien Lemercier. Nul ne se doute encore que ce coup de fil fortuit sera à l'origine d'un courant artistique nouveau, précisément appelé «Art nouveau».
Cet art proche de la Nature, pétri de joie et de gaieté, apaisant, quelque peu bourgeois, sera le dernier vent d'optimisme sur l'Europe de la Belle époque.
Camille Vignolle
Cet art proche de la Nature, pétri de joie et de gaieté, apaisant, quelque peu bourgeois, sera le dernier vent d'optimisme sur l'Europe de la Belle époque.
Camille Vignolle
dimanche 21 décembre 2008
Chasse d'Auxeméry
... Parmi ces masques - comme dans les cultures dites « primitives » -, priment ceux d’animaux, comme si la parole humaine devait, pour tenter de se saisir elle-même, revenir « en arrière », dans l’animalité du cri qui la précède et en vérité la porte au monde. Depuis le tout début de Parafe jusqu’à Codex et au-delà Les animaux industrieux (ensemble à paraître ), c’est la figure de l’auteur en chasseur de soi, de l’autre en soi (infiniment démultiplié), qui domine. Le propre de l’homme, pourrait-on dire après la lecture de ces poèmes, semble être l’animal, l’animal tu en l’homme. Non pas l’animal battu et humilié tel qu’il apparaît dans la littérature depuis Kafka , cette image de l’homme inférieur et de la victime d’une violence collective, mais l’animal comme vérité d’un être en chemin vers la parole. La chasse débute ainsi :
Je tiens le fil j’ai le nez sur la piste
la traque est engagée. A vrai dire
Je suis depuis longtemps sur la trace,
ma voix me tire vers l’avant
J’entends déjà dans le fourré le souffle
régulier des fauves,
& comme sur le papier la main & l’œil suivent
la ligne des signes, je vais - je finirai par
me surprendre et m’entendre
http://www.larevuedesressources.org:80/spip.php?article1046
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
http://wheatoncollege.edu/Academic/academicdept/French/ViveVoix/Resources/chat.html
Je tiens le fil j’ai le nez sur la piste
la traque est engagée. A vrai dire
Je suis depuis longtemps sur la trace,
ma voix me tire vers l’avant
J’entends déjà dans le fourré le souffle
régulier des fauves,
& comme sur le papier la main & l’œil suivent
la ligne des signes, je vais - je finirai par
me surprendre et m’entendre
http://www.larevuedesressources.org:80/spip.php?article1046
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
http://wheatoncollege.edu/Academic/academicdept/French/ViveVoix/Resources/chat.html
Sécurité alimentaire mondiale
« Tout au long de l’année 2008, partenaires et acteurs de la communauté de la pomme de terre se sont mobilisés pour échanger, informer, sensibiliser le grand public, organiser et soutenir des événements culturels, des concours de recherche, ou des programmes de développement à moyen et long terme. Remise sur le devant de la scène par les récentes émeutes de la faim, la pomme de terre joue un rôle clé dans la sécurité alimentaire mondiale et la réduction de la pauvreté. Consommée dans les Andes depuis 8 000 ans environ, cette culture ancestrale est aujourd’hui en pleine évolution. La pomme de terre est un élément de base dans de nombreux pays en développement et la principale denrée alimentaire non céréalière au monde. La pomme de terre est un véritable allié de la lutte contre la faim : facile à cultiver, elle présente des qualités biologiques et nutritionnelles intéressantes. »
http://www.ird.fr/fr/actualites/communiques/2008/cp214.pdf
http://www.ird.fr/fr/actualites/communiques/2008/cp214.pdf
samedi 20 décembre 2008
jeudi 18 décembre 2008
mercredi 17 décembre 2008
Le contact au réel
« Nous sommes dans le spectacle, et la question « qui va gagner ? » est devenue la drogue contemporaine. Nous sommes des toxicomanes du « qui va gagner ? », et ce, dans tous les domaines : en politique, en sport, dans les guerres... La politique est une alliée des médias dans ce spectacle du « jeu à deux », et se place ainsi hors jeu. Ils ont perdu le contact au réel.
« Nous faisons les guerres sans prendre en compte la terre. On peut même affirmer que ces guerres nous aveuglent. » »
http://www.actualitte.com/dossiers/350-Michell-Serres-guerre-institution-encadree.htm?p=2
« Nous faisons les guerres sans prendre en compte la terre. On peut même affirmer que ces guerres nous aveuglent. » »
http://www.actualitte.com/dossiers/350-Michell-Serres-guerre-institution-encadree.htm?p=2
mardi 16 décembre 2008
Bravo
les slameuses du Téléthon, vous pouvez les entendre en cliquant sur ces liens :
http://www.jamaisdirejamais.tv:80/permalink/7471/donna-vicky-slameuse-telethon-prise-n23-.html
http://www.jamaisdirejamais.tv:80/permalink/7473/sarah-benani-slameuse-telethon-.html
http://www.jamaisdirejamais.tv:80/permalink/7471/donna-vicky-slameuse-telethon-prise-n23-.html
http://www.jamaisdirejamais.tv:80/permalink/7473/sarah-benani-slameuse-telethon-.html
lundi 15 décembre 2008
samedi 13 décembre 2008
Le bel indiscipliné
« Le laurier-tin s'illumine de corymbes de fleurs blanc rosé, selon un calendrier qui nous échappe un brin, mais dont on a fini par deviner qu'il ne se comptait pas sur les douze mois d'une année, mais sur un cycle irrégulier et plus long. Certains millésimes, il lui arrive de ne pas fleurir pour le faire en plein hiver la saison suivante et recommencer immédiatement après, en plein été, les premières fleurs pas encore montées en graine. Voici une plante déboussolée par un phénomène étrange dont on ne se souvient pas l'avoir observé il y a une trentaine d'années. On ne l'en aime que davantage, d'autant que ce bel indiscipliné a réussi à envahir balcons, terrasses, jardins, solitaire ou en haie, libre ou taillé, sans jamais devenir commun et provoquer le dédain dont tant de ses "collègues" souffrent désormais. »
Le Monde
Le Monde
vendredi 12 décembre 2008
jeudi 11 décembre 2008
mercredi 10 décembre 2008
Henry Purcell
Pour finir en beauté le voyage sur la toile, un peu de musique, l'extrait de Didon et Énée, donne envie d'en écouter davantage, c'est ICI
Critique
« Derrière un tabouret de bar, des gens tristes, idiots et décus de leur vie banale qu'ils menent pas automatisme commencent a rêver par le biais d'un papillon.
Un homme, stéréotype de l'imbécile triste et aigri, se réveille un matin avec de petites excroissances dans le dos, qui se révéleront être des ailes.
Mais le message n'a bien évidemment aucune consonance religieuse. Ces ailes , après avoir vainement tenté de faire le bien superficiel, deviendront source de mépris , d'incompréhension et surtout seront la cible de la convoitise la plus noire de l'humain... »
Écran large
Un homme, stéréotype de l'imbécile triste et aigri, se réveille un matin avec de petites excroissances dans le dos, qui se révéleront être des ailes.
Mais le message n'a bien évidemment aucune consonance religieuse. Ces ailes , après avoir vainement tenté de faire le bien superficiel, deviendront source de mépris , d'incompréhension et surtout seront la cible de la convoitise la plus noire de l'humain... »
Écran large
Reconversion
« Ainsi, Japón est l’œuvre d’un " autodidacte ", d’un homme qui, spécialiste des conflits armés, se reconvertit dans le cinéma. Le vieux refrain dostoïevskien bourdonne aux oreilles : puisque Dieu est mort, tout est permis. » La Revue des Ressources
mardi 9 décembre 2008
Poésie
Démarche
Thomas PITIOT est en colère, et il est inutile de qualifier sa colère. Un homme libre, un homme qui chante n’a-t-il pas le droit d’être en révolte quand son époque enterre les valeurs d’humanité ? Quelles sont les armes du poète quand il voit son pays faire des choix où l’humain est exclu, exploité, bafoué, fiché, contrôlé ? Que fait le griot d’Afrique pour prévenir de toute urgence les dérives de son chef de village ? Il réunit les gens, il raconte, il chante et il dit sa peine.
Léo FERRE disait : « A l’école de la poésie, on n’apprend pas, on se bat ! ». Thomas PITIOT est ce griot blanc. Il se bat, il sème de la prise de conscience sans être un donneur de leçons. Si ses chants ont des parfums d’ailleurs et des couleurs d’Afrique, c’est parce qu’il sait que ces terres lointaines et oubliées contiennent des enseignements souvent plus riches qu’un développement prétendument moderne. Sous son arbre à palabres planté en pleine urbanité, ses mots sont encore et toujours ceux du voyage, de l’engagement et de l’amour amitié. ICI
vendredi 5 décembre 2008
Lightgraff
"Ce texte pourrait commencer par un essai de définition : « Qu’est-ce qu’un graffiti ? », ce qui permettrait ainsi de justifier son existence en tant que forme d’art à part entière. Ensuite, nous aurions montré en quoi le graffiti participe d’un mouvement culturel qui est apparu en France, il y a quelque 25 ans... Et nous aurions ajouté que loin d’être encore le mode de communication d’une minorité qui cherche à s’approprier un territoire, le graffiti est une expression de soi dans la rue, et accessible à tous. Un discours, de l’art, des mots, des noms... Et puis finalement, ce texte peut commencer autrement. Nous devrions cesser un moment de chercher un sens à tout et de tout justifier. Bien sûr, le graffiti a un sens, il crée du sens, il est l’expression de quelque chose. Mais ce quelque chose, pourquoi le nommer ? Nommer, n’est-ce pas délimiter une essence ? Nommer, c’est accorder l’existence, mais c’est aussi enfermer et c’est imposer un sens. Pourquoi toujours ce besoin de discourir-pour-conceptualiser-pour-comprendre ? Au gré de ces divagations théoriques, je pense finalement que ce texte commencera autrement. Après tout, je ne veux pas ici tenter un énième discours sur l’art et le graffiti, je ne veux pas ici argumenter pour faire voir quelque chose. Pour une fois, j’aimerais réussir à abandonner cette part de rationnel qui prend toujours le dessus en moi et finalement oser faire confiance à mon regard..."La Revue des Ressources
mardi 2 décembre 2008
dimanche 30 novembre 2008
vendredi 28 novembre 2008
jeudi 27 novembre 2008
Poésie
"Il est peu de dire que cette publication est précieuse, sans prix, au sens propre du mot, tant l'écriture de ce poète est très à part dans le concert contemporain. Comme nul autre, il sait rendre névralgique la syntaxe d'un poème. Elle se fait illico saisissante, palpitante, comme échappant du corps de ce texte que tout prédestine dans l'histoire de la poésie à être embaumé, à la façon dont Artaud annonçait dans Le Pèse-Nerfs : «La Grille est un moment terrible pour la sensibilité, la matière.»
Il ne restait qu'une lampe ouverte
qu'une main allumée dans un quart de ciel
Fenêtres fermées Vie retenue
au bout des lèvres
Nonchalance des fumeurs
Romance âcre albums somnambules carnets injustes
Il menait ce geste par le poing
Tressaillant incarnat Nous sommes
Je suis de ce nerf De lueur et de douleur
Comme un bonheur ne vient jamais seul (et même deux), les éditions Hauts-Fonds annoncent deux autres belles promesses en un nom brandi pour le printemps 2009 avec la publication de deux titres de Guy Cabanel.
Scandaleusement ignoré par les censément notoires collections de poche des éditeurs de la place, ce poète fut tenu, au même titre que Gracq, Mandiargues, Mansour, Blanchard, Duprey, Luca, dans les années 70-80, comme une voix majeure et singulière.
Mais on y reviendra en temps voulu, comme au premier temps : «Un oiseau qui se pose en vaut cent qui s'envolent» (Supervielle).
Les Hauts-Fonds, pour toute information, écrire au 22 de la rue Kérivin, 29200 Brest (mais on peut commander les ouvrages en librairie) :
CruciFiction, d'Alain Le Saux, 12 euros (100 p.)".
On achève bien Auden – de l'interprétation à la traduction, de Jean-Yves Le Disez, 8 euros (24 p.). Media Part
Il ne restait qu'une lampe ouverte
qu'une main allumée dans un quart de ciel
Fenêtres fermées Vie retenue
au bout des lèvres
Nonchalance des fumeurs
Romance âcre albums somnambules carnets injustes
Il menait ce geste par le poing
Tressaillant incarnat Nous sommes
Je suis de ce nerf De lueur et de douleur
Comme un bonheur ne vient jamais seul (et même deux), les éditions Hauts-Fonds annoncent deux autres belles promesses en un nom brandi pour le printemps 2009 avec la publication de deux titres de Guy Cabanel.
Scandaleusement ignoré par les censément notoires collections de poche des éditeurs de la place, ce poète fut tenu, au même titre que Gracq, Mandiargues, Mansour, Blanchard, Duprey, Luca, dans les années 70-80, comme une voix majeure et singulière.
Mais on y reviendra en temps voulu, comme au premier temps : «Un oiseau qui se pose en vaut cent qui s'envolent» (Supervielle).
Les Hauts-Fonds, pour toute information, écrire au 22 de la rue Kérivin, 29200 Brest (mais on peut commander les ouvrages en librairie) :
CruciFiction, d'Alain Le Saux, 12 euros (100 p.)".
On achève bien Auden – de l'interprétation à la traduction, de Jean-Yves Le Disez, 8 euros (24 p.). Media Part
mardi 25 novembre 2008
dimanche 23 novembre 2008
Shadrane
"Vivien Lalu est compositeur et claviériste français. Fils de musiciens « progressifs » des années 70, il a toujours grandi dans un cadre musical et a très tôt pratiqué la musique. Membre de plusieurs projets dans la mouvance prog-metal tel son autre groupe Lalu, il est aussi le fondateur en 2001 de Shadrane, groupe international réunissant des musiciens venant de différents pays. Si l’on considère en outre que « Temporal » est un concept album, réalisé avec l’aide de chanteurs et musiciens divers invités, écrit, mixé et produit par Lalu lui-même, la comparaison entre Vivien Lalu et le maître batave Arjen Lucassen, alias Ayreon, s’impose d’elle-même et s’avère fondée." ICI
samedi 22 novembre 2008
L'homme qui a perdu son ombre
"A côté de Shakespeare ou de Cervantes, Adelbert de Chamisso fait figure d’anonyme. Il appartient pourtant au club très fermé de la littérature universelle. Il y est entré par la magie d’un livre unique, étrange et magique : La Merveilleuse histoire de Peter Schlemihl ou l’homme qui a perdu son ombre. Ce chef d’oeuvre est presque inconnu en France, alors qu’à l’étranger, on l’apprécie pour sa facilité de lecture et son humour lumineux. Ce que l’on sait moins, c’est que l’auteur de ce joyau philosophique est né Français et champenois, au château de Boncourt, en Argonne."
ICI
ICI
Fais-moi un signe
« Deux artistes de la région ont créé « Fais-moi un signe », un spectacle qui revisite la variété française, dansé, chanté et traduit en langue des signes, accompagné d'un orchestre live. Pour cela, ils ont réussi à convaincre des comédiens déjà rodés aux grandes comédies musicales. La première est prévue ce week-end, à Mons-en-Baroeul. » La Voix du Nord
dimanche 16 novembre 2008
La sarriette
« Elle contient de la silice, des tanins, du mucilage (apprécié pour ses propriétés émollientes sur les muqueuses) et différents sels minéraux. On la considère surtout comme un condiment. A ce titre, elle est utilisée en cuisine dans la préparation des ragoûts et des plats en sauce, et après tout ce n’est que justice. » ICI
samedi 15 novembre 2008
De la servitude volontaire
« Certainement le tyran n’aime jamais, et n’est jamais aimé. L’amitié est un nom sacré, une chose sainte. Elle n’existe qu’entre gens de bien. Elle naît d’une mutuelle estime et s’entretient moins par les bienfaits que par l’honnêteté. Ce qui rend un ami sûr de l’autre, c’est la connaissance de son intégrité. Il en a pour garants son bon naturel, sa fidélité, sa constance. Il ne peut y avoir d’amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l’injustice. Entre méchants, lorsqu’ils s’assemblent, c’est un complot et non une société. Ils ne s’aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis, mais complices. » Bétapolitique
vendredi 14 novembre 2008
Qui était Pierre George ?
"Pour Jean Bastié, après le décès du professeur Albert Demangeon à l’entrée des Allemands dans Paris en juin 1940, et jusqu’aux années 1980, soit pendant près de quatre décennies, Pierre George a été le spécialiste de la géographie humaine et économique le plus connu en France et dans le monde." Canal académie
jeudi 13 novembre 2008
mardi 11 novembre 2008
lundi 10 novembre 2008
Orchidées
"Vous n’entendrez pas d’exposé magistral, mais sur le terrain, en arpentant ces lieux sauvages à l’affût des orchidées, ces amoureux de la nature vous feront partager leur passion.
L’orchis militaire, l’ophrys mouche, araignée, ou bourdon, l’homme pendu… Autant de noms évocateurs pour des plantes aux mœurs étranges. Certaines orchidées se déguisent en insecte par stratégie pour que les abeilles les pollinisent. D’autres se passent de chlorophylle.
Ces fleurs particulièrement fragiles sont de bons indicateurs de la qualité de l’environnement. La période idéale pour les observer est le mois de mai. Certaines espèces sont très discrètes : toutes vertes, elles ne mesurent que quelques centimètres. D’autres sont plus exubérantes. Du haut de leur 25 cm, elles affichent fièrement leurs couleurs flamboyantes.
Ne les cueillez pas, elles ne résisteraient pas ! Leur place est dans les milieux préservés." ICI
L’orchis militaire, l’ophrys mouche, araignée, ou bourdon, l’homme pendu… Autant de noms évocateurs pour des plantes aux mœurs étranges. Certaines orchidées se déguisent en insecte par stratégie pour que les abeilles les pollinisent. D’autres se passent de chlorophylle.
Ces fleurs particulièrement fragiles sont de bons indicateurs de la qualité de l’environnement. La période idéale pour les observer est le mois de mai. Certaines espèces sont très discrètes : toutes vertes, elles ne mesurent que quelques centimètres. D’autres sont plus exubérantes. Du haut de leur 25 cm, elles affichent fièrement leurs couleurs flamboyantes.
Ne les cueillez pas, elles ne résisteraient pas ! Leur place est dans les milieux préservés." ICI
dimanche 9 novembre 2008
Pensez-vous que l'Asie ...
« Pensez-vous que l’Asie soit une entité, une seule civilisation ? Et l’Europe ? Comment les percevez-vous ? Les hiérarchisez-vous ? Selon quels critères ?
Non, il m’est impossible de percevoir l’Asie comme une seule entité, ni une seule civilisation. Pas plus que l’Europe, du reste. Ce type de représentation réductrice résulte d’un mélange d’éloignement et d’ignorance, qui se dissipe dès que l’on cherche à en savoir un peu plus, par curiosité, par intérêt, ou par sympathie.
En général, cette forme d’ignorance va de pair avec quelques certitudes simplistes sur la valeur de telle ou telle civilisation, et sur la hiérarchie de ces valeurs. Qui repose sur des critères limités, et considérés isolément les uns des autres. Ce qui caractérise ce type d’attitude, ou de jugement, c’est de ne pas entrer dans la complexité, et de lui préférer la facilité des bilans manichéens.
Cette question renvoie à une époque où l’on invoquait une mission civilisatrice de l’Europe comme justification morale de l’expansion coloniale. C’était la base d’un corps de doctrine, développé par exemple dans un ouvrage d’A. Sarraut, dans les années trente.
On peut remarquer que l’un des avatars de cette argumentation se retrouve dans le devoir d’ingérence invoqué aujourd’hui au nom de l’humanitaire. » ICI
Non, il m’est impossible de percevoir l’Asie comme une seule entité, ni une seule civilisation. Pas plus que l’Europe, du reste. Ce type de représentation réductrice résulte d’un mélange d’éloignement et d’ignorance, qui se dissipe dès que l’on cherche à en savoir un peu plus, par curiosité, par intérêt, ou par sympathie.
En général, cette forme d’ignorance va de pair avec quelques certitudes simplistes sur la valeur de telle ou telle civilisation, et sur la hiérarchie de ces valeurs. Qui repose sur des critères limités, et considérés isolément les uns des autres. Ce qui caractérise ce type d’attitude, ou de jugement, c’est de ne pas entrer dans la complexité, et de lui préférer la facilité des bilans manichéens.
Cette question renvoie à une époque où l’on invoquait une mission civilisatrice de l’Europe comme justification morale de l’expansion coloniale. C’était la base d’un corps de doctrine, développé par exemple dans un ouvrage d’A. Sarraut, dans les années trente.
On peut remarquer que l’un des avatars de cette argumentation se retrouve dans le devoir d’ingérence invoqué aujourd’hui au nom de l’humanitaire. » ICI
vendredi 7 novembre 2008
Cyclamen
« Les nombreuses variétés ont toutes la même morphologie : d’un tubercule aplati s’élèvent des longs pétioles des feuilles en forme de cœur surplombées de fleurs originales, très élégantes aux pétales recourbés. Les coloris sont variés et très délicats allant du blanc pur au pourpre foncé. »
ICI
ICI
mercredi 5 novembre 2008
Philosophie sur Canal Académie
« Chantal Delsol retrace les grandes lignes directrices qui fondent le caractère humain au travers de six thèmes :
La mortalité et la différenciation,
Une société immortelle,
Éthique : l’intuition universelle de la norme,
La transmission,
La relation et la distance,
L’enracinement et l’émancipation. »
C'est ICI
La mortalité et la différenciation,
Une société immortelle,
Éthique : l’intuition universelle de la norme,
La transmission,
La relation et la distance,
L’enracinement et l’émancipation. »
C'est ICI
mardi 4 novembre 2008
Inconscient collectif
« C’est en développant six démystifications que Philippe Nemo s’attaque à une part considérable de notre inconscient collectif, j’ai nommé la république française et l’improbable consensus dont elle fait preuve. En effet, avant les six mythes mis à mal, le premier à voler en éclats est celui de l’unité républicaine : derrière ces mots, principalement deux camps qui s’affrontent, celui des libéraux contre celui des socialistes, deux idéaux-types au sens de Max Weber dont l’antagonisme est radical et philosophique, et qui voit – entre autres – s’opposer un Benjamin Constant à un Robespierre. Le style de Nemo est hardi. On sent qu’il veut en découdre avec ces "badigeons mythologisant" qui sont autant de falsifications, et qui permettent – ô terrible chose pour cet auteur – de mélanger tout dans un seul sac républicain, de prendre 1789 pour 1793, de croire que les jacobins étaient des démocrates et des laïcs, et d’assimiler la Ière république française à un exercice idyllique de démocratie libérale. Que nenni ! »
Nonfiction
dimanche 2 novembre 2008
Mur de poésie
Larmes du ciel
Il pleut le jour, la nuit, le soir et le matin,
Il pleut toute la mer dans une seule averse…
Il pleut devant nos yeux, comme si le destin
Voulait laver le sol du sang que l’homme y verse…
L’eau descend des sommets avec des bonds fougueux
Et les rugissements d’un animal sauvage ;
Le ciel immense est noir comme le pain des gueux,
Et lourd comme à nos fronts le joug de l’esclavage.
L’ennui du flot qui tombe écrase mon cerveau…
Mais comme avec amour je bénirais la pluie
Si, dans le monde en feu malgré le renouveau,
Je voyais ce déluge éteindre l’incendie !
Extrait de "Les sanglots étouffés"
Eugène BIZEAU
La poésie du côté de Tours, sur ce site
Il pleut le jour, la nuit, le soir et le matin,
Il pleut toute la mer dans une seule averse…
Il pleut devant nos yeux, comme si le destin
Voulait laver le sol du sang que l’homme y verse…
L’eau descend des sommets avec des bonds fougueux
Et les rugissements d’un animal sauvage ;
Le ciel immense est noir comme le pain des gueux,
Et lourd comme à nos fronts le joug de l’esclavage.
L’ennui du flot qui tombe écrase mon cerveau…
Mais comme avec amour je bénirais la pluie
Si, dans le monde en feu malgré le renouveau,
Je voyais ce déluge éteindre l’incendie !
Extrait de "Les sanglots étouffés"
Eugène BIZEAU
La poésie du côté de Tours, sur ce site
"Badins badauds ébaubis"
« Au départ de Papeete, à Tahiti, l'Aranui 3 réalise en deux semaines une tourneboulante boucle de 3400 kilomètres en ralliant les six Marquises habitées. Chacune d'elles se distingue: Hiva Oa garde la mémoire de Brel et Gauguin; Ua Huka, l'île aux chevaux, est la plus désertique; Tahuata forme la plus petite des îles habitées; Nuku Hiva est la plus vaste, la plus peuplée et la plus développée; Fatu Hiva demeure presque aussi sauvage que lorsque Thor Heyerdal y a séjourné; et Ua Pou, la bien-nommée île-cathédrale, dresse ses pitons irréels vers l'abîme du ciel. Mais peu importe où ils débarquent, les passagers ont toujours droit au même privilège: jouer les badauds du quotidien des Marquisiens.
Badins badauds ébaubis » Le Devoir
Badins badauds ébaubis » Le Devoir
samedi 1 novembre 2008
Paris-Art
« Dans l'ensemble de nos travaux il a toujours été question d'images et de traitement de l'information, d'une attitude exclusivement processuelle et non formaliste. Ici, nous tenons à lever toutes les ambiguïtés d’interprétation avec des images plus identifiables d'objets non identifiés. » Paris-Art
mercredi 29 octobre 2008
Le coing
« Bon pour la régulation : ses fibres permettent également d'abaisser l'index glycémique et le taux de cholestérol sanguin. Elles diminueraient par ailleurs le risque de cancer colique et du système digestif.
Pour le choisir, sachez que le coing est mûr lorsqu'il dégage un parfum agréable et que sa peau est bien jaune, avec un fin duvet qui s'en va facilement en frottant. Prenez le bien ferme et intact. » ICI
Une recette ICI
Pour le choisir, sachez que le coing est mûr lorsqu'il dégage un parfum agréable et que sa peau est bien jaune, avec un fin duvet qui s'en va facilement en frottant. Prenez le bien ferme et intact. » ICI
Une recette ICI
lundi 27 octobre 2008
samedi 25 octobre 2008
Enfants de Don Quichotte
« La sortie au cinéma du film des Enfants de Don Quichotte est l’occasion de revenir sur l’action de ces nouveaux militants qui ont mis en lumière les carences des politiques publiques sur le logement, et bousculé la société civile. Un dossier à lire dans notre rubrique Société. » Politis
vendredi 24 octobre 2008
Chute régulée
"Ils ont fini par créer un appareil qui permet de sauter du ciel et dans le vide. Avec la création de parachutes de plus en plus modernes, le parachutisme est devenu un sport bien apprécié."
ICI
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Calendula
"Calendula officinalis arvensis : (le souci des champs) Espèce parente naturalisée et moins connue. Comme son nom l’indique, c’est une plante officinale connue depuis l’antiquité. Elle est appréciée pour ses vertus sudorifères, expectorantes et antispasmodiques." Sur ce site
jeudi 23 octobre 2008
mardi 21 octobre 2008
"Être simple, clair, concret ..."
À propos de Douglas Hofstadter :
« C’est à partir de la structure autoréférentielle de la boucle que s’articule sa définition de la conscience de soi »
Philosophie magazine
« C’est à partir de la structure autoréférentielle de la boucle que s’articule sa définition de la conscience de soi »
Philosophie magazine
samedi 18 octobre 2008
vendredi 17 octobre 2008
jeudi 16 octobre 2008
mercredi 15 octobre 2008
mardi 14 octobre 2008
lundi 13 octobre 2008
dimanche 12 octobre 2008
jeudi 9 octobre 2008
mardi 7 octobre 2008
Villegle
"Surgissent soudain des souvenirs, mon enfance, la vôtre, notre jeunesse. Ce sont nos ardoises de la Mémoire insoluble."
lundi 6 octobre 2008
dimanche 5 octobre 2008
Sur le canal Saint-Martin glisse
Sur le canal Saint-Martin glisse,
Lisse et peinte comme un joujou,
Une péniche en acajou,
Avec ses volets à coulisse,
Un caillebot au minium,
Et deux pots de géranium
Pour la Picarde, en bas, qui trôle
...............................
Je rêve d'un soir rouge d'or,
Et d'un lougre hindou qui s'endort :
- Siffle la brise... eh toi ! créole.
Sur le canal Saint-Martin glisse,
Lisse et peinte comme un joujou,
Une péniche en acajou,
Avec ses volets à coulisse,
Un caillebot au minium,
Et deux pots de géranium
Pour la Picarde, en bas, qui trôle
...............................
Je rêve d'un soir rouge d'or,
Et d'un lougre hindou qui s'endort :
- Siffle la brise... eh toi ! créole.
samedi 4 octobre 2008
Hundertwasser
« Ses manifestes portent des titres comme "Ton droit à la fenêtre" où il affirme que dans un habitat collectif, l'habitant est maître de tout ce qu'il peut atteindre de sa fenêtre autrement dit, le concepteur doit tenir compte des désirs de l'utilisateur... »
vendredi 3 octobre 2008
Feuillages
« À la fois tristounette et féerique, la chute des feuilles l'automne recèle encore des mystères que les chercheurs tentent aujourd'hui de percer. On sait depuis longtemps que les effets conjugués du froid et de la diminution de la durée du jour mettent en branle le phénomène. Mais on ne connaissait pas encore les signaux chimiques qui poussent la feuille à se détacher de la tige. L'équipe du professeur de biologie végétale John Walker, de l'Université du Missouri, croit avoir identifié les gènes synthétisant les messages chimiques qui induisent le bris des cellules retenant les feuilles à leur branche.
John Walker et ses collègues ont fait leur découverte sur l'Arabidopsis thaliana, une plante s'apparentant au canola. «Une fois que les fleurs de l'Arabidopsis thaliana se sont autopollinisées, la plante n'en a plus besoin et s'en débarrasse», explique au bout du fil M. Walker, qui a mis au jour la «voie de signalisation» qui contrôle le processus de la chute des fleurs chez cette espèce végétale. «Le processus intervenant dans la chute des fleurs chez Arabidopsis thaliana est probablement très semblable à celui qui survient lorsque les arbres perdent leurs feuilles, car nous avons trouvé les mêmes gènes [composant cette voie de signalisation] dans de nombreuses autres espèces de plantes. Ces gènes sont là depuis très longtemps [présents dans des espèces très anciennes] et n'ont pas beaucoup changé au cours du temps. Le fait qu'ils aient été conservés au cours de l'évolution nous laisse penser qu'ils remplissent ce même rôle universellement», dit-il. Un déclencheur Les chercheurs émettent ainsi l'hypothèse qu'à l'instar de la pollinisation dans la perte des fleurs chez Arabidopsis thaliana, la diminution de la durée du jour et de la température dans la tombée des feuilles ou l'attaque d'un pathogène dans la chute prématurée des fleurs et des fruits induiraient le réveil de cette voie génétique commune à une multitude de plantes. «Il nous reste à prouver cette hypothèse , mais elle nous semble très plausible», précise avec prudence le scientifique. Quand les plantes développent un organe, qu'il s'agisse d'une fleur ou d'une feuille, elles déposent un groupe de cellules spécialisées à l'endroit où cet organe se détachera de la tige, explique-t-il. Selon l'espèce, des facteurs tels que le raccourcissement de la durée du jour, la pollinisation ou une infection mettront en alerte ces cellules qui produisent alors une enzyme, laquelle sépare les cellules les unes des autres et permet du coup à l'organe de se détacher du corps de la plante. «Les gènes que nous avons découverts mettent en branle ce processus», souligne le chercheur, avant de préciser que lorsqu'on induisait des mutations qui compromettent la fonction de ces gènes, les fleurs d'Arabidopsis thaliana ne tombaient plus et demeuraient en place. Une preuve de plus que ces gènes sont impliqués dans le processus de la chute des fleurs. «Lorsqu'un arbre est infecté par un pathogène, il se débarrasse de ses feuilles, fleurs ou fruits afin de conserver son énergie pour combattre l'infection, poursuit le chercheur. Or, en bloquant ces gènes, on préviendrait la synthèse des composés chimiques qui induisent la chute des fleurs et des fruits pendant que l'on traite l'infection dont souffre l'arbre. On pourrait ainsi améliorer les récoltes, qui autrement sont grandement réduites», avance John Walker. «En bloquant les gènes intervenant dans cette voie de signalisation, on pourrait même imaginer produire des sapins de Noël qui ne perdraient pas leurs aiguilles dans le salon de la maison, avec pour résultat que les risques d'incendie seraient ainsi éliminés!», ajoute le chercheur. Par contre, nos automnes ne seraient sûrement pas aussi resplendissants.. »
jeudi 2 octobre 2008
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