Hier j'ai proposé la lecture de la nouvelle qui s'intitule L'ombre dans la roseraie. J'ai tellement aimé l'écriture ou si vous préférez le style de l'auteur que je l'ai lue trois fois à intervalles assez espacés dans la journée. Le soir, j'ai fait écouter ce récit singulier à mon compagnon. Lui aussi a beaucoup aimé. Cette femme qui, sur le coup, ne se sent plus exister dès lors qu'elle s'aperçoit que son ancien amant n'est pas mort comme il lui avait été annoncé, mais "fou" dans le sens d'une démence due à une insolation. Fragilité de l'être humain, de tout être humain. De l'être vivant.
Aujourd'hui, photo du patio. De deux rosiers, dont l'un qui bien qu'il soit situé très à l'ombre (celui à roses blanches), a offert sa première rose, tandis que d'autres boutons sont là, prêts à éclore. L'autre, un peu plus au soleil, a montré un joli bouton prometteur.
En prime, le bonzaï est en fleurs :
Le cornouiller qui peut vivre en Sibérie tant il s'adapte partout, aux couleurs flamboyantes dès le printemps, jusqu'en milieu d'automne :
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