J'ai regardé deux reportages hier, l'un sur Miami et l'autre sur Dubaï.
Du reportage sur Miami il est ressorti que l'amalgame faisait commettre quelques énormités aux tenants du juridique, notamment en ce qui concerne les problèmes de pédophilie. En effet on y montre le cas d'un jeune père de famille, accusé de pédophilie parce que, à l'âge de 18 ans, il a couché avec une jeune fille de quinze ans, sa petite amie de l'époque qui selon lui avait demandé cette "expérience sexuelle", amalgamé des années durant sur le plan juridique au cas d'un père qui a tenté de violer sa fille de huit ans.
Un citoyen de Miami affirme que ce serait faire montre de faiblesse que de céder devant certains cas de pédophilie. Confusion "des cas". Impossible pour lui de faire la part des choses en raison du traumatisme qu'il a vécu, sa propre fille ayant été gravement maltraitée par sa nourrice qui alla jusqu'à déféquer et uriner sur l'enfant, laquelle, de honte gardait le silence et subit ce calvaire durant quelques années.
On voit aussi dans ce reportage un noir américain stigmatisé parce qu'il a couché avec une fille de 17 ans. Il lui est du coup interdit de dormir dans sa maison la nuit parce que celle-ci est située trop près d'endroits où se trouvent des enfants le jour. Chaque soir sans exception il se rend dans un parking où se retrouvent pour y dormir les pédophiles sortis de prison, lieu qui leur est autorisé parce qu'il est situé à plus de je sais plus quelle distance d'endroit où se trouvent des enfants le jour. Les "cas" divers et variés, sans gravité réelle à mon sens pour certains, et graves concernant d'autres, se trouvent rassemblés là chaque soir jusque six heures du matin. Heure autorisée pour retourner vaquer à ses activités normalement. Le bracelet électronique pour les cas graves devrait suffire à mon avis, et pour les cas vraiment à risque j'imaginerais pour ma part, une ferme pour prisonniers en thérapie et peut-être en thérapie, à vie. Un lieu très vaste, de production agricole, mais dont ils ne pourraient pas s'en aller effectivement en raison de leur dangerosité. Il leur serait permis de produire et d'apprendre l'art aussi... Une fois la guérison assurée pour certains d'entre eux, resterait le bracelet à la cheville en guise d'essai dans un monde libre.
Autre reportage : Dubaï. Sa richesse ne vient pas du pétrole mais du tourisme est-il affirmé dans ce reportage. Ces grandes tours dans le désert me font pourtant l'effet d'un enfer. Du moment qu'ils ne nuisent pas à la liberté d'autres personnes, ils peuvent garder cette vision-là du paradis sur terre, si saugrenue qu'elle me semble. Mais tout le monde est-il vraiment libre là-bas ?
lundi 22 juin 2015
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