Nous en sommes arrivés au moment où Lucky Luke va à la rencontre de ses hôtes, laissant son cheval à son monde animal.... la noble bête n'étant plus habituée à l'univers humain voit les membres de la caravane sous forme de chats, heureusement assez aimables, quoique. Zébra, se garde lumineuse jusqu'à transparaître en projetant une ombre facétieuse sur les félins... ou plutôt les caravaniers, seul indice de son intense présence. Tandis que Phil, rassuré, garde l'invisibilité par solidarité en dépit qu'il aimerait faire connaissance avec le cheval de Lucky Luke, lequel rumine de ce fait une solitude qui lui sied mal, le sixième sens lui faisant défaut. Voici ce monde animal livré à lui-même :
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Bienvenue Lucky Luke ! |
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Suivez-moi, je vais vous présenter ! |
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Le cheval de Lucky se voit soudain étendu sur le flanc, sous l'assaut d'un tigre. Non décidément ces caravaniers ne lui reviennent pas.
"Mari malade, notre gros Berger allemand lui tenant la main et l'embrassant pour l'aider à se sentir mieux."
C'est l'humanité des animaux qui est ici montrée, l'animalité est entendue, nous le voyons bien en lisant Gaston Bachelard, comme quelque chose que l'on peut qualifier de diabolique, à l'instar d'une tempête des éléments.
Des gens dans une grosse galère à Grande Synthe. C'est ici : https://blogs.mediapart.fr/celia-blauel/blog/290116/bienvenue-en-france
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