Pas assez d'infos pour appréhender ce fait plutôt violent d'une femme du boulonnais dont on a ponctionné quatre enfants sur sept et pourtant je sens des choses terriblement glauques là-dessous. Ce qui est certain est que ces enfants n'ont pas failli mourir en mer ou autre danger aussi grand. Les kidnappeurs sont étranges puisque ce sont les représentants (souvent moutonniers en France) de l'Etat, dans toute sa splendeur.
Mon compagnon me dit que les infos sont vaseuses. Serait reproché à cette dame d'être trop près de ses enfants (quelle merveille de disponibilité quand on en a sept, divin chiffre soit dit en passant)
Mais comme ajoute si pertinemment mon ami, ce que l'on sous-entend par là dans la presse locale est moche. À-t-elle le droit de salir une femme parce qu'elle se trouve en situation précaire ? Seules les bourgeoises ont-elles l'avantage d'être respectées au nom du féminisme ? Féminisme qui ne serait réservé qu'à une élite, les autres femmes pouvant aller se faire voir ailleurs ?
Cette dame à qui on a pris quatre enfants, pour protester, a tenté une grève de la faim. En vain, nous apprend-on. Un des enfants s'est sauvé de là où on l'avait placé pour rejoindre illico sa maman.
Il a exprimé son choix ce garçon en agissant ainsi. En vain à nouveau. La parole de cette femme, celle de son fils semblent ne rien valoir aux yeux de l'Etat français. Et l'on nous apprend encore que la police est maintenant sur le dos de la dame qui aurait pris le parti d'écouter le choix de son enfant.
Glauque politique régionale au vu de cet événement que je ressens comme hyper violent à l'encontre de cette dame ! Quelle violence en effet ! Il n'y a plus qu'à prier pour que les enfants "ravis" ne deviennent pas à leur tour hyper violent en guise de réponse.
Pour cette femme, est-elle effective la démocratie ? Laquelle, par essence induit qu'elle est participative. Hier une écologiste disait à la télé que la vraie région à gauche de tradition en France c'était le Nord. Alors que les étudiants Lillois ont un déficit de moins quatre-vingt euros et des poussières dans leur budget en raison des loyers qui leur sont demandés ainsi que du prix des transports et que les étudiants Toulousains qui ne paient pratiquement rien en transport et ont des loyers raisonnables, ont un surplus de 160 euros, d'après de récentes informations. Je vois donc plutôt la vraie gauche à Toulouse pour ma part, si tant est que cela veuille encore dire quelque chose de nos jours, la gauche.
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