Ce matin mon compagnon m'a donné des nouvelles de la dame aux sept enfants, dont l'un s'est enfui du lieu où on l'avait placé d'autorité pour rejoindre sa mère qui l'a caché par respect pour son choix. La police a recherché l'enfant durant quelques jours avant de le retrouver.
La presse locale m'avait dit mon compagnon a utilisé cette phrase, à charge pour la mère : "trop proche de ses enfants", seul élément vaseux mais à charge tout de même tant l'insinuation est pernicieuse à mon sens, qu'a trouvé une singulière justice pour accaparer quatre enfants sur les sept. Bonjour la presse et la justice locales !
Mon ami m'a informée que le courrier des lecteurs, moutonnier en diable, plombait à donf la maman. "Elle faisait la fête" y a-t-on commenté. Un catholique bon teint a aussi écrit : " "proche de ses enfants" : j'ai peur de comprendre !"
Ambiance "Cachez ce sein que je ne saurais voir", bref cette jolie personne qu'est la maman des sept convoités par les "renards" du secteur (pardon les renards qui en plus êtes cruellement chassés dans la région), est dans l'angoisse je suppose. Voilà comment je ressens la chose de mon côté. Pour se consoler un peu, une chanson de Brassens ? qui s'intitule je crois me souvenir "mais les braves gens n'aiment pas que, l'on suive une autre route qu'eux". J'irai la chercher sur You Tube tout à l'heure.
Où se trouve la zone libre ? En Angleterre ? Je n'y crois plus. Trop d'appel de la part de la gauche comme de la droite anglaise aux migrants. Ce grand miroir aux alouettes que les politiciens leur dressent est signe pour moi que l'Angleterre est dans le tragique.
Zone libre sous la Loire alors ? Trop de gens du sud n'aiment pas les gentiment surnommés chtis à mon humble avis.
Alors ? Rester et combattre avec les moyens du bord, mais surtout pas se suicider madame, si vous m'entendez.
La chanson de Brassens : https://www.youtube.com/watch?v=ybKvv4BQJ9Q
vendredi 21 août 2015
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