Ce qui m'aura saisie dans cette vie qui commence à s'allonger est l'humanité que recèle nombre d'animaux domestiques, c'est-à-dire, qui se laissent approcher. Cette nuit j'ai rêvé avoir trouvé un "nid" de quatre chiots, avec leur mère, dans la soupente d'un toit de pigeonnier, tout en haut. Je soulevai au hasard un "couvercle" et les y trouvais, étroitement, trop étroitement enveloppés ensemble dans une housse de cuir qui semblait conçue à cet effet. J'ai descendu la mère et ses petits afin de leur faire se dégourdir les pattes. J'ai alors vu mes parents... d'antan, car je ne les vois plus aujourd'hui, accueillir cette famille de canins avec chaleur. Je me trouvais chez eux et les avais donc ramenés dans leur maison. Au moment de les remettre où je les avais découverts, après avoir failli perdre les petits du fait qu'ils gambadaient partout, m'apparaît l'inanité et la cruauté de les remiser là-haut dans ce placard du pigeonnier, au risque qu'on les y oublie. Je libère ainsi la famille des canins, soulagée de l'accueil enjoué que leur renouvelle le couple parental. Ce soulagement culmine à la joie tant et si bien que cela me réveille : il n'est pas loin de cinq heures du matin. Je décide d'aller à l'ordi faire le ménage de ma boîte mail après consultation des messages, ouvre le premier site, Pinterest, et tombe sur cette image au premier clic :
Ce hasard fait revenir à la surface le rêve qui déjà s'en allait dans les limbes de l'oubli, however, you have no idea what a good trip this dream has been. Ce qui ajoute à mon étonnement est qu'il s'agissait de la même espèce de chiens dans ce rêve. J'ai un réel amour des canins (qui ne mordent pas ceux qui ont de la tendresse pour eux), je l'ai réalisé là.
mercredi 12 août 2015
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