La pétition, c'est ici : http://quaidebruay.blogspot.fr/2016/01/madaya-la-petition.html
Quand le poète est en plein rêve éveillé, il projette son monde intérieur et devient puissamment bénéfique à mon sens. Avec ce poème, nous nous trouvons dans le monde intérieur de son auteur (anonyme), et ce monde a le parfum de l'encens. Il ne parle pas de la réalité du monde extérieur, mais de celle qu'il porte, empli de gratitude envers... l'Invisible. Ce poème pourrait éventuellement avoir été écrit par un enfant heureux. Le poème en question :
Je vais mettre mon manteau de ciel bleu
Brodé de flocons et tout perlé de givre ;
je vais enfiler mes moufles de vent,
Et nouer mon capuchon d'étoiles ;
Je vais chausser mes mules aux mille grelots.
Alors, vêtu de joie, éclaboussé de rires,
Au crépuscule, je bondirai vers toi,
Je viendrai te porter les jolies nouvelles
Du monde que tu nous as donné.
Et voici Zébra, tout en curiosité et prudence....
L'imam en Turquie, qui a ouvert les portes de sa mosquée aux chats errants : http://sans-voixinfos.hautetfort.com/archive/2016/01/18/un-imam-turc-ouvre-les-portes-de-sa-mosquee-pour-venir-en-ai-5746515.html
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