La vidéo que j'ai mise en ligne au précédent post, en deuxième thème abordé, je l'ai regardée intégralement. J'ai trouvé à Lio de la noblesse, à défendre avec ténacité la mémoire de son amie Marie Trintignant, sans jamais manquer de respect envers sa protagoniste, en dépit d'une sacrée virulence du propos. Lio, qui parla même du Christ, de la rédemption, et aussi de la perversion narcissique quand elle tourne au gravissime, et du syndrome de Stokolm dont à son avis l'écrivain à laquelle elle s'opposait faisait preuve, l'écrivain, devant elle-même faire face à la violence extrême d'un compagnon de vie malade.
J'ai sorti de l'ombre moult CD, et l'envie d'en réécouter est venue immédiatement. Après Tony Murena, j'ai passé deux fois de suite le CD de Baden Powell en m'activant dûment dans la maison (c'est la pause maintenant), sa musique m'emmène à Toulouse où je l'écoutais beaucoup à l'époque où j'habitais rue Guilleméry, près de la place Dupuy où se trouve La Halle aux grains, lieu où se déroulent beaucoup de concerts. C'était un 33 tours à l'époque. Et enfin, j'ai mis un CD de Reggiani, j'en ai 5 de ce chanteur.
Parmi toutes les chansons réécoutées chantées par Reggiani, je mets celle-ci sur ce blog : Maximilien. La chanson parle des doutes supposés de Robespierre marchant vers la guillotine. Émouvante chanson si bien chantée :
https://www.youtube.com/watch?v=0gCXXPkRFdI
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